jeudi 21 juillet 2011

Droit de vote des étrangers: personne n'y gagne. Surtout pas la Suisse !

Le 4 septembre prochain, les citoyens vaudois seront appelés à se prononcer sur l’initiative vivre et voter ici, qui demande de donner le droit de vote et d’éligibilité au niveau cantonal à tous les étrangers résidant en Suisse depuis une dizaine d’années. Se cachant derrière des slogans généralistes et déplacés, et prêts à sortir la bannière de l’antiracisme une fois à court d’arguments, les partisans de ce texte s’efforcent d’apporter des nouveaux droits à des gens qui ne souhaitent pas particulièrement les recevoir, ou qui n’ont pas la capacité d’assumer les responsabilités qu’ils leurs amèneront. Sous prétexte de vouloir aider à l’intégration des résidents étrangers, certains politiciens essayent ainsi d’attirer de nouveaux électeurs, sentant que leurs idées perdent de l’attrait auprès du corps électoral dans le pays.

Ils nous disent que c’est pour donner plus d’influence aux étrangers en Suisse qu’il faut détacher le droit de vote de la nationalité helvétique. Ainsi, semble-t-il, ces personnes pourront s’intégrer plus aisément dans la société, et seront partie active de la politique de notre pays. Mais l’obtention du droit de vote et de la nationalité n’est-il pas justement l’achèvement de ce processus d’intégration, ou en quelque sorte le certificat qui stipule que la personne en question a les connaissances de base nécessaires pour participer aux décisions du pays ? Donner le droit de vote en espérant que cela fera participer activement à la vie politique est aussi insensé que de donner un permis de conduire à quelqu’un pour qu’il apprenne à maîtriser son véhicule. Dans les deux cas on se frotte à la même erreur de jugement : c’est bel et bien à l’étranger de faire la démarche pour son intégration, tout comme c’est à l’apprenti conducteur de prendre des cours de conduite.

Et nous arrivons maintenant au centre du problème : parmi les 85'000 personnes à qui l’initiative vivre et voter ici donnerait le droit de vote et d’éligibilité, 75'000 peuvent déjà se faire naturaliser. Nous allons donc donner la possibilité de décider de l’avenir du pays à deux nouveaux types de personnes : ceux qui ne veulent pas obtenir la nationalité suisse, et ceux qui ne le peuvent pas. Pourquoi donner ces droits à des gens qui n’ont pas la volonté de faire les démarches nécessaires à leur obtention ? S’ils s’intéressent si peu à la vie politique, il est de plus probable qu’ils ne votent que rarement ou par impulsion, faussant ainsi le résultat démocratique. Et pourquoi donner ces droits à ceux qui n’ont pas la capacité de les utiliser correctement, soit par une insuffisance linguistique, soit en raison du peu de compréhension du système et du patrimoine local ? Là encore, on s’enfonce dans une direction contraire à la logique, pour un principe démagogique et électoraliste plutôt que pour une réelle conviction des politiciens gauchisants.

Pour maquiller cette supercherie, les partisans cherchent à couvrir les faits réels sous une masse d’arguments déplacés et infondés. Ils clament par exemple que les étrangers payant leurs impôts en Suisse devraient pouvoir y voter, oubliant de mentionner que ces derniers bénéficient tout autant des prestations de l’Etat que les autres citoyens. De plus, cette comparaison n’a pas lieu d’être, à moins que les partis de gauche ne souhaitent enlever le droit de vote aux milliers de Vaudois qui ne payent pas d’impôts. On nous parle également de la double nationalité qui n’est pas acceptée dans tous les pays et du drame pour certaines personnes qui perdraient leur nationalité d’origine. Précisons cependant qu’en Europe, il n’y a guère que la Belgique et les Pays-Bas qui refusent la double nationalité. Et pour les quelques cas litigieux, il serait plus efficace de faire pression sur les gouvernements étrangers pour qu’ils donnent ce droit à leurs ressortissants, au lieu de démanteler la valeur de la nationalité suisse.

Pour toutes ces raisons, il est donc primordial de se rendre aux urnes le 4 septembre 2011, et de voter NON à une demande injuste et sans fondement, basée uniquement sur une envie électoraliste de la part de politiciens qui préfèrent leur propre succès à celui de la Confédération. Nous n’avons pas à donner de droits supplémentaires à des gens qui n’acceptent pas les devoirs qui les accompagnent, et nous le ferons savoir au cours de cette campagne. Ce n’est que si tout le monde se mobilise que nous pourrons empêcher à la Suisse un nouveau faux-pas dans sa politique des étrangers. En tant que citoyens helvétiques, il est de notre devoir de nous battre dans ce sens.

Yohan Ziehli

samedi 19 mars 2011

Félicitations aux citoyens vaudois!

Les Jeunes UDC tiennent à féliciter les électrices et les électeurs vaudois, qui ont fait confiance à une politique conservatrice, et économiquement libérale. Preuve en est l’augmentation remarquable de l’UDC à travers le canton de Vaud. Le nombre d’élus communaux de notre parti est passé de 176 à 280 ! Une augmentation de 104 personnes, bien supérieure à l’objectif fixé.

Dans le district en particulier la progression est nette, et l’UDC a reçu environ 12% des voix à Montreux, La Tour-de-Peilz et Vevey. A Chardonne, trois conseillers ont été élus, et le record est Château d’Oex, avec plus de 23% des suffrages !

Notre section adresse également ses félicitations aux dirigeants de l’UDC vaudoise, qui sont parvenus à cadrer les responsables locaux pour obtenir une campagne de qualité, tout en leur laissant une grande autonomie sur leur manière de faire. Enfin, nous remercions tous ceux qui ont rendu cela possible, en militant activement pour le parti de la Suisse neutre, souveraine, fédéraliste et indépendante.

Nos élus vont désormais faire leur possible pour satisfaire les citoyennes et les citoyens, en prenant les meilleures décisions, centrées sur la population avant tout. Pour leur part, les Jeunes UDC de la Riviera et du Pays-d’Enhaut vont continuer d’agir pour sensibiliser les Suisses aux possibilités d’avenir pour notre pays.

Yohan Ziehli
Président des JUDC Riviera Pays-d'Enhaut
Secrétaire général des JUDC Vaud

lundi 28 février 2011

L'UDC : Le parti des Suissesses et des Suisses

A l'aube des élections, respectivement, communales, fédérales et cantonales, j'ai trouvé que c'était le meilleur moment pour dévoiler les thématiques importantes de l'UDC, encore tant ignorées par certains médias et certaines élites.

L’UDC s'engage :

- pour un pays sûr, libre et prospère, pour une belle Suisse, dans laquelle il fait bon vivre.

Ces dernières années, une politique élitiste et gauchiste a tout fait, consciemment ou non, pour nuire à la liberté et la prospérité de la Suisse. Notamment dans le cas de la Libye, où nos politiques ont manifestement manqué de courage, voire même tout simplement de présence.

- Pour l'exception Suisse, avec ses piliers, qui sont la souveraineté, la démocratie directe, la neutralité permanente, le fédéralisme et la subsidiarité.

La Suisse est incontestablement l'un des pays qui se portent le mieux au monde. La souveraineté, la démocratie directe et la neutralité ne sont pas étrangères à ce bien-être national, qui se ressent aussi bien sur l'économie, pas trop déboussolée en comparaison internationale, que sur les habitants.

A l'heure où l'Etat veut être central, il est important que nous, citoyens, montrons à notre gouvernement que nous tenons à nos piliers, dont le fédéralisme est l'une des composantes les plus importantes de notre histoire, partant de 1291 à 2011, en passant par 1848.

- Pour des citoyens responsables, disposant de larges droits de participation, donc contre un Etat tout-puissant et centralisateur.

Les Suisses ne veulent pas d'un Etat centralisateur. Ils l'ont clairement montré le 29 novembre 2010 en se prononçant à 58.5 % contre l'harmonisation fiscale.

- Pour la protection de la propriété privée et de la sphère privée

La propriété est un droit, garanti par nos lois, et qui doit le rester. Ce n'est manifestement pas l'avis de tout le monde, vu que le parti socialiste Suisse dit dans son programme. " La propriété n'est pas seulement un droit, c'est aussi une obligation. Son utilisation doit servir le bien être-général. Les sociaux-démocrates s'engagent pour un régime de la propriété assorti d'obligations sociales." Avec de telles déclarations, nous pouvons clairement en déduire que des partis comme le PS veut la mort de la propriété et de la sphère privée, au profit du "collectivisme".

- Pour un Etat plus économe baissant les impôts, taxes et redevances pour tous.

Ces dernières années, notre chère administration fédérale a commencé sérieusement à prendre la population pour des tirelires que l'on pouvait secouer à tout moment et indéfiniment, pour compenser les dettes qu'elle contractait un peu partout. L’UDC dit non, à une nouvelle augmentation de taxes, redevances ou impôts, qui sont synonymes de baisse du pouvoir d'achat. L’UDC est pour une baisse des impôts POUR TOUS.

- Pour plus d'économie de marché et moins de bureaucratie, pour des emplois sûrs dans les entreprises, les arts et métiers.

Les petites et moyennes entreprises (de 1 à 249 employés), épines dorsales de notre économie, doivent consacrer chaque année plus de 650 heures de travail juste pour la bureaucratie fédérale. Il faut donc payer un employé 76 jours à plein temps pour un travail qui ne rapporte absolument rien à l'entreprise, si ce n'est de l'énervement et du stress. C'est pour ses raisons que l'UDC est opposé à une bureaucratie débordante et décourageante pour nos PME.

- Pour une politique extérieure ouverte au monde et consciente des forces de la Suisse sans adhésion à l'UE, à l'EEE ou à l'OTAN.

La Suisse est un pays connu et respecté dans le monde entier, car celui-ci a toujours réussi à rester neutre et a pu arbitrer différents conflits internationaux de par sa réputation de " pays neutre". C'est pour - entre autres - cette raison que la Suisse ne doit adhérer à aucune nouvelle organisation internationale, sous peine de se retrouver discréditée dans son combat pour l'humanitaire en participant, par exemple à des incursions menées par l'OTAN.

- Pour une justice qui punit plus sévèrement les criminels et pour l’expulsion des étrangers criminels.

Le 29 novembre 2010, le peuple Suisse se prononça à 52,9 % en faveur de l’expulsion des criminels étrangers, un texte où l'union démocratique du centre a gagné seule contre tous. Les Suisses ont clairement montré qu'ils ne toléraient pas de criminels ou de fraudeurs à l'aide sociale. L’UDC est le seul parti qui s'intéresse à ces problématiques, jetées depuis 40 ans dans les oubliettes des partis de gauche.

- Pour une politique d'asile rigoureuse qui empêche les abus et n'accorde protection qu'aux authentiques réfugiés. Pour une politique à l'égard des étrangers adaptée aux besoins de la Suisse et contre une immigration de masse. Pour des institutions sociales solides grâce à la lutte contre les abus de faux invalides et aux fainéants.

Une politique de gauche, depuis ses vingt dernières années, ont montré, qu'en accueillant un nombre conséquent d'immigrés - dont des membres de réseaux criminels liés aux trafics de drogues -, la Suisse s'est considérablement affaiblie au niveau de ses institutions de dernier recours (assurance sociale, AI...). Certains réfugiés, en plus de ne pas être des demandeurs d'asile politique comme l'exige l'UDC, viennent en Suisse uniquement pour profiter d'infrastructures luxueuses avec des contrôles relativement laxistes. Des étrangers, habitant depuis longtemps en Suisse, en ont d'ailleurs assez de voir d'autres étrangers profiter des institutions suisses solides, alors que les premiers ont dû retrousser leurs manches et travailler dur pour trouver une place dans ce pays. Le tri dans l'asile au début de la procédure permet de réduire les coûts et d’accueillir les vrais réfugiés!

- Pour une armée prête à intervenir, dont la mission principale est la défense nationale et la protection de la population.

Le Conseil fédéral et l'administration fédérale ont démontré ces dernières années une telle passivité sur les dossiers concernant l'armée qu'on a vraiment l'impression que leur seul souhait est de dissoudre l'armée. Certaines personnes, dont notre chère ministre des affaires étrangères Micheline Calmy-Rey, ont proposé que l'armée aille faire des missions à l'étranger. Pour l'UDC, c'est clairement non. L'armée Suisse doit être utilisé pour la défense de la population suisse est seulement pour celle-ci. En envoyant notre armée dans d'autres pays, nous pourrions nous exposer à des situations extrêmement difficiles.

- Pour une agriculture productrice comprenant des exploitations familiales qui peuvent travailler sans être étouffées par un flot de prescriptions.

Depuis vingt ans, nous pouvons dire sans trop avoir peur de se tromper que l'agriculture suisse est en crise, on est passé de 108000 exploitations en 1990 à 60'000 exploitations en 2010, et si le Conseil fédéral continue de prôner les produits provenant de l'étranger, ce sera une véritable catastrophe pour nos paysans, qui se battent chaque jour en travaillant la terre et en nettoyant et entretenant nos forêts. L'Etat doit les soutenir dans deux domaines :

  1. Il doit diminuer une bureaucratie inutile et décourageante et privilégier les produits locaux en faisant du protectionnisme.
  2. En freinant tout de suite les négociations dans les accords de libre-échange avec l'OMC, l'UDC veut assurer aux paysans la continuation de leur travail de la terre et de donner la nourriture qu'ils cultivent à leur pays.

- Pour une instruction publique qui exige des performances et les encourage.

L’instruction publique a été délaissée pendant trop longtemps à des élites qui sont totalement déconnectées de ce que pense et vit la population. C’est pour cela qu’ils ont sans cesse cherché à promouvoir « l’intégration de tout le monde à tout prix ». Une politique, qui n’a vraiment pas porté ses fruits. L’UDC veut un enseignement adapté à tous, permettant aux personnes voulant faire des études à pouvoir accéder aux universités en ayant un niveau d’enseignement suffisant au secondaire II et de permettre aux personnes voulant faire un apprentissage d’avoir eu des connaissances suffisantes, bien au niveau de la théorie qu’au niveau des stages en entreprise.

- Pour l'assainissement de la santé publique en encourageant la responsabilité individuelle, pour la baisse des primes et l'allègement du catalogue.

Les coûts de l'assurance maladie obligatoire augmentent chaque année, c'est devenu une tradition d'annoncer le pourcentage de l'augmentation des primes au début de l'automne. Les primes de l'assurance maladie sont devenues ces dernières années encore plus stressantes que les maladies elles-mêmes. L'UDC y voit trois raisons :

  1. C'est l'Etat qui décide quel traitement est efficace, ce qui revient à dire que ce n'est pas un contrat entre l'assureur et son patient mais un contrat de l'Etat avec le patient et son assureur. Cette situation ne peut plus durer.
  2. Aujourd'hui, ce sont les intérêts des assureurs qui sont placées au milieu de cette révision de la loi sur l'assurance -maladie et non les patients. Ce fait doit changer.
  3. Il n’y a pas assez de concurrence entre les assurances-maladies.

L'UDC propose donc :

- un système de santé publique se fondant sur un principe de concurrence afin d'offrir une desserte médicale de qualité.

- le rejet total d'une caisse unique fédérale ou cantonale.

- demande une meilleure transparence en termes de qualité et de prix des prestations médicales et la création d'un concept pour réévaluer les prestations.

- Pour fluidifier et non pas entraver le trafic routier, pour la complémentarité des modes de trafic et contre les oppositions crées artificiellement entre les systèmes de transport.

Depuis 15 ans, nous avons remarqué que la politique menée par l'ancien conseiller fédéral Moritz Leuenberger, qui était à la tête des transports, a été un désastre, autant sur le plan économique que concret. L'UDC en a marre de cette politique de gauche qui privilégie de manière maladroite le rail à la route.

L'UDC propose :

  1. La liberté du choix de mobilité : Chaque citoyen peut emprunter le mode de transport qui lui convient, la Confédération n'a en aucun cas le droit de l'en empêcher. Pour entretenir une société prospère, c'est primordial.
  2. La démographie de la Suisse est un défi pour nos infrastructures de transport. C'est pour cela que nous ne devons absolument pas entraver la fluidité du trafic routier, que ce soit en supprimant des places de parcs ou en mettant des péages à l'entrée des villes.
  3. Les transports publics n'ont pour l'instant pas la capacité d'assumer seuls les transports de personnes et de marchandises en Suisse. La capacité du rail à clairement atteint la limite. Il faut donc pour cela que l'axe Est-Ouest ait la même priorité que l'axe Nord-Sud.

- Pour un approvisionnement énergétique des ménages et entreprises sûr, avantageux et aussi indépendant que possible. Pour une protection de l'environnement avec des actes concrets au lieu d'une redistribution idéologique de l'argent sans utilité pour la nature.

Pour un approvisionnement énergétique sûr, nous devons compter sur des moyens sûrs. Le nucléaire est pour l'instant ce qui nous paraît le plus réaliste à garder. Tant que 100% de l’électricité ne pourra pas être fourni par des énergies renouvelables, L'UDC ne discutera pas sur un retrait de l'énergie d'origine nucléaire.

L'UDC est aussi en faveur de l'énergie hydraulique et demande donc pour cela plusieurs installations de centrales au fil de l'eau et l'agrandissement des barrages existants, là où c'est possible dans une mesure raisonnable. Plusieurs installations du type auraient pu être réalisées dans le Valais, si des personnes issues du parti écologiste n'avaient pas fait recours. Ces prétendus écologistes demandent aussi la mort du nucléaire, mais n'ont aucune solution réaliste afin de se mesurer au défi énergétique qui nous attend. L’UDC est également pour une politique énergétique la plus indépendante de l'étranger possible.

- Pour une politique médiatique qui mise sur la concurrence entre producteurs privés et non sur le monopole de la SSR en matière de radio et de télévision. Pour une culture vivante qui n'est ni ordonnée par l'Etat, ni encouragée via des structures reposant avant tout sur le copinage.

Une récente étude de l'Université de Zurich a démontré que sur les 20 plus grands quotidiens et hebdomadaires de Suisses 15 sont à gauches ou au centre. Pire encore pour la télévision et la radio : sur les 8 principales télévisions et radios de Suisse, les 8 sont à gauche et au centre. Il ne faut pas donc être une lumière pour comprendre que les médias Suisses ne sont pas d'une grande diversité.

C'est pour cette raison que l'UDC prône une concurrence entre producteurs de médias privés, plutôt que le monopole de SSR idée suisse sur le marché de la télévision et de la radio.

L'UDC est contre une " culture d'Etat". La culture est un domaine très important dans l'épanouissement et la liberté de l'homme. C'est précisément dans un état libéral que cette liberté et cet épanouissement auront lieu et pas dans un Etat situé à gauche qui soutient une culture de gauche et vice-versa.

- Pour le sport de masse et d'élite afin de fortifier le corps et l'esprit.

Le sport est un élément très important de la vie de beaucoup de personnes. Un élément qui ne doit toutefois pas devenir l'affaire de l'Etat en faisant une confusion entre celui-ci et d'autres projets faisant partie d'une politique sociale n'ayant rien à voir. Le sport est l'affaire de chacun est non une occupation de l'Etat.

- Pour la solidarité des jeunes et des aînés, des femmes et des hommes, des familles et des célibataires.

L'UDC réclame que les familles élevant elles-mêmes leurs enfants ne soient pas pénalisées sur leur fiscalité. C'est aussi ça la solidarité que le socialisme prétend défendre. L'UDC reconnaît l'homme et la femme comme des partenaires égaux dans la vie professionnelle et politique. Nous considérons l'éducation des enfants comme étant avant tout du ressort des parents.

Nous nous engageons aussi afin que les retraités soient actifs dans la société. Pour cela, ils doivent avoir droit à des couvertures vieillesse et aussi à une participation, par le biais de l'assurance maladie, aux soins à domicile. Les EMS doivent être construits de telle façon que les résidents puissent rencontrer d'autres gens, car chaque humain a le droit de vieillir et de mourir dans la dignité.

- Pour les valeurs fondamentales de notre culture chrétienne et occidentale, sans violence, sans fanatisme, dans le respect de notre Etat de droit libéral.

La Suisse est, qu'on le veuille ou non, un pays fondé sur une culture chrétienne et occidentale mais qui fait passer la loi avant la morale. Ce qui n'est pas le cas de l'Islam radical, qui est un dogme religieux qui comprend comme fonctions : religion, état et mode de vie. Ce principe de non-laïcité et profondément incompatible avec notre Etat de droit. C'est pour cela que l'UDC s'engage pour un pays laïc avec une liberté de croyance garantie pour toutes et pour tous, mais de manière privée.


Voici les points importants du programme de l'UDC Suisse. Pour ces raisons, nous vous encourageons à soutenir l'UDC, le parti des Suisses.


Fidel Petros

Caissier des JUDC Riviera Pays-d'Enhaut

Vice-président des JUDC Vaud




dimanche 20 février 2011

L'acharnement des anti-UDC, une manoeuvre antidémocratique

Lors d’une campagne politique, il est rare d’assister à un tel acharnement que celui que nous voyons actuellement contre l’UDC. Cela est d’autant plus étonnant qu’il ne s’agit pas d’amener des idées ou de les défendre, mais au contraire d’empêcher une partie de la population de s’exprimer. Pire encore, ce n’est même pas à une proposition ou une initiative que ces gens s’attaquent, mais à un parti, ou à l’image qu’ils en ont. Image qui leur a été soigneusement donnée par une foule de journalistes, d’intellectuels autoproclamés et d’enseignants en manque de punching-ball sur qui se défouler. C'est ainsi que nous voyons aujourd'hui des gens aller jusqu'à brûler des affiches, ainsi que le socle en bois, en pleine ville!

Pour défendre leur manière de faire, les plus instruits de ces vandales disent qu’ils se sentent exclus par un slogan qu’ils jugent discriminatoire. « Les citoyens votent UDC ». Mais le fait qu’ils empêchent la diffusion de ce slogan, commettant ainsi un acte peu citoyen et illégal, est d’un manque de logique incroyable. En réalité, ils ne se sentent pour la plupart même pas concernés par ce slogan, mais ne font que suivre un mouvement à la mode.

Il y a quelques jours, à Vevey, j’ai croisé un groupe de ces personnes qui s’apprêtaient à déchirer des affiches, et qui se vantaient de l’avoir déjà fait. Je leur ai demandé pourquoi, et au bout d’une discussion étonnement constructive, ils m’ont expliqué qu’ils n’avaient jamais eu de problème avec des membres de l’UDC, et qu’ils ne s’étaient jamais sentis visé par une campagne du parti. Au contraire, plusieurs ont dit que c’est à l’école qu’ils avaient entendu tout le mal que leurs professeurs pensaient de cette formation politique. L’un d’entre eux a dit que son prof de français avait qualifié les membres de l’UDC de racistes. Un autre m’a dit qu’en cours d’histoire, il avait entendu des comparaisons entre l’UDC et les mouvements fascistes. Pour ce qui est du slogan sur les affiches qu’ils ambitionnaient de déchirer, ils ne l’avaient même pas lu…

Il ne s’agit pas de cas isolés, l’endoctrinement fait par les médias de masse (gratuits ou non) et par le biais de l’enseignement porte ses fruits. Ce qui se passe maintenant n’en est qu’une conséquence logique. Nous ne demandons pas à tout le monde d’apprécier nos affiches, ou d’être d’accord avec nos slogans. Mais la base de la démocratie est la liberté d’expression, car c’est elle seule qui peut permettre des débats constructifs et complets, nécessaires pour que le peuple, en tant que souverain, puisse prendre la meilleure décision. Par conséquent, nous proposons à nos opposants qui voudraient faire savoir qu’ils n’acceptent pas nos idées d’écrire des articles, de parler autour d’eux, de débattre et d’aller voter plutôt que d’empêcher aux honnêtes citoyens d’agir dans le respect des lois.

Heureusement, ce n’est qu’une petite partie de la population qui s’attaque au processus démocratique, et qui le met en péril de cette manière. Preuve en est le fait que mis à part l’UDC, et dans une bien plus faible mesure le PLR, aucun parti ne subit de réel vandalisme. Il ne reste plus qu’à espérer que les partis de gauche sauront expliquer à leurs rejetons ce qui se fait et ce qui ne se fait pas.

Tout de même, on notera que les affiches arrachées sont souvent redressées, voire accrochées à nouveau par des passants qui soutiennent la libre expression des opinions, sans forcément être membre de l’UDC. On remarquera également que le fait de mettre ces affiches à terre ou de les détériorer leur donne sans aucun doute une nouvelle dimension, qui pourrait profiter au parti lors des élections communales.

Ne lâchons pas, et nous pourrons fêter une nouvelle progression de l’Union démocratique du centre dans le canton de Vaud, et dans la Riviera en particulier. Si nous continuons de proposer des solutions réalistes aux vrais problèmes avec autant de rigueur qu’aujourd’hui et si nous n’arrêtons pas de les mettre en pratique par l’action, alors plus que jamais, les citoyens voteront UDC !

Yohan Ziehli

Président des JUDC Riviera Pays-d'Enhaut

Secrétaire général des JUDC Vaud

vendredi 11 février 2011

Stand à La Tour-de-Peilz


Les Jeunes UDC de la Riviera vont de nouveau participer à la tenue de stands d'information à La Tour-de-Peilz. Ils auront lieu le samedi matin, dès 9:00, au centre-ville, aux dates suivantes:


- 19 février
- 26 février
- 5 mars
- 12 mars

Aux même dates, l'UDC sera également présente à la place du marché de Vevey.



lundi 18 octobre 2010

Pourquoi il faut soutenir l'initiative UDC pour le renvoi


Depuis toujours, de nombreux étrangers sont venus en Suisse, pour y trouver une nouvelle Patrie. Décidés à faire de leur mieux et prêts à s'adapter, beaucoup d'entre eux se sont établis dans ce pays de la meilleure des façons. Il est indéniable que cela leur a profité, et il y a fort à parier que la Suisse ne se porterait pas si bien aujourd'hui s'il n'y avait jamais eu d'immigration.

Le fait est qu'il y a malheureusement des personnes malveillantes dans le lot, et que leur proportion est en nette augmentation, surtout depuis une vingtaine d'année. Les débordements liés à une immigration mal gérée sont de plus en plus fréquents, et il est grand temps d'agir.

En effet, on remarque une présence d'étrangers disproportionnée dans les statistiques criminelles. Alors qu'ils représentent 23% de la population Suisse, ils sont responsables de 55% des lésions corporelles graves et des enlèvements, 57% des cambriolages ainsi que de 60% des homicides et des viols!

Ces chiffres ne sont bien sûr pas représentatifs de la majorité des étrangers présents en Suisse, et il est injuste qu'ils se retrouvent stigmatisés par la faute de leurs compatriotes ne désirant pas s'intégrer. L'expulsion systématique des criminels étrangers ayant commis des actes graves, tels que ceux cités plus haut, ou ayant abusé de nos institutions sociales est une solution adaptée à la situation actuelle.

Qui peut s'opposer à un pays plus sûr? Il est absolument indéniable que ce projet augmentera la sécurité dans la vie de tous les jours, et tout le monde en profitera, autant les citoyens helvétiques que les honnêtes immigrés. Certes, les opposants nous disent que cette initiative est inutile, puisque le renvoi est déjà possible. C'est faux! L'application de la loi sur l'expulsion des étrangers varie très fortement d'un canton à l'autre, et certains d'entre eux n'y recourent quasiment jamais. Si le peuple vote OUI, l'office fédérale des migration estime que le nombre d'expulsion serait au moins triplé par rapport à ce qui est fait aujourd'hui.

La gauche clame que l'initiative brise le principe de proportionnalité, d'ailleurs inscrits dans la constitution. Là encore elle se trompe. Les seuls condamnés sont les criminels reconnus coupables de crimes graves et les gens qui abusent de nos institutions sociales. Les violeurs, les meurtriers et les autres étrangers criminels n'ont pas leur place en Suisse! Les gens qui n'ont rien de tout cela à se reprocher n'ont pas de soucis à se faire – au contraire.

Il est également important que le contre-projet soit refusé. Ce dernier offre effectivement une trop grande marge de manœuvre en matière de recours et d'interprétation de la part de la justice. Le but de la votation est justement d'éviter cela. Selon les estimations, le contre-projet diviserait par deux le nombre d'expulsions par rapport au texte de l'UDC. De plus, il demande d'imposer aux cantons de lourdes charges pour l'intégration des étrangers. Bien que l'intégration soit essentielle, c'est une démarche qui doit venir avant tout de la part de l'arrivant, sans surcharger les dépenses et la bureaucratie de l'administration.

Une initiative efficace, éthique, proportionnelle et réaliste, voila ce qui vous sera proposé le 28 novembre. Vous avez la possibilité de faire baisser la criminalité, de réduire les risques dans la vie courante et de combattre les abus dans les institutions sociales. Au contraire d'être raciste, comme elle en est régulièrement accusée, la proposition de l'UDC rend les honnêtes étrangers doublement gagnants: non-seulement ils vivront dans un pays plus sûr au même titre que les Suisses, mais ils ne seront plus assimilés aux trop nombreux crimes de leurs compatriotes.

Pour tout cela, n'oubliez pas de voter OUI à l'initiative, et NON au contre-projet le 28 novembre.

Yohan Ziehli

Président des JUDC Riviera Pays-d'Enhaut

Secrétaire général des JUDC Vaud

dimanche 1 août 2010

Message du premier août


Chères Suissesses, chers Suisses,

En été 1291, trois cantons s'unissaient et promettaient de se soutenir mutuellement en cas de conflit. A l'époque, c'était monnaie courante, et les signataires étaient certainement loin de s'imaginer que 719 ans plus tard, un pays fort de près de 8 millions d'habitants commémorerait leur acte.

Entre temps, la confédération a connu diverses périodes, de la soumission française à l'État Fédéral, en passant par la guerre civile. Ce sont autant d'actions qui ont forgé une histoire unique. Nous avons derrière nous un patrimoine culturel d'une valeur inestimable, qui a conduit au fil du temps au résultat que nous connaissons: l'une des meilleures économies mondiales, un niveau de vie hors du commun, une nation fière, et qui a raison de l'être.

Mais le temps passe, les années se suivent inlassablement, et le jour que nous vivons fera bientôt partie du passé. La Suisse d'aujourd'hui n'est qu'une étape vers la Suisse de demain!

Il est de notre devoir d'assurer à ce pays que nous avons reçu gratuitement un avenir encore meilleur. Ce n'est pas ce que nous faisons pour l'instant. Alors que nous avons toutes les cartes en main, nous minons nos chances de succès une à une, en sacrifiant nos acquis sur l'autel de la mondialisation! Donnons aux futures générations la chance de vivre dans un État libre, indépendant, neutre, économiquement stable, où elles seront en sécurité.

Un État libre, c'est un pays souverain, qui ne vit pas sous l'oppression des autres. A l'instar de nos ancêtres, qui ont su résister aux grandes puissances européennes d'autrefois, au Reich nazi et au bloc communiste, résistons à leurs héritiers, sous toutes leurs formes.

Indépendant, car nous ne devons plus céder aux pressions économiques ou politiques des grandes puissances d'aujourd'hui. Nos intérêts doivent être la ligne rouge de notre politique extérieure. Notre droit doit primer sur le droit étranger, quel qu'il soit!

Neutre, parce qu'à défaut d'être sans avis sur les grandes questions internationales (au contraire!) il serait contreproductif d'y prendre part au travers de certains mouvements internationaux contraignants, qui compromettraient notre avenir.

Une économie stable découle de ces trois premiers points. Quand nous serons en mesure de défendre nos intérêts sur le plan international, nous serons à même de développer une économie réellement ouverte au monde et prometteuse.

Vivre en sécurité, c'est pouvoir jouir des droits cités ci-dessus, et en aucun cas obstruer notre liberté. Une politique de sécurité efficace ne consiste par à dissuader les gens de sortir! Sanctionnons les vrais délinquants, empêchons la récidive, notamment par le renvoi des criminels étrangers, et supprimons les petites peines non-dissuasives.

Le travail à accomplir peut paraître une montagne, mais en agissant en tant qu'une nation unie, il sera à notre portée. Le début des grands projets se trouve dans les petites actions. Tout comme le pacte de 1291, d'importance mineure, a engendré la nation souveraine d'aujourd'hui, c'est en accomplissant avec dévouement notre tâche dans la vie de tous les jours que nous ferons avancer la confédération toute entière!

En réalisant tout cela, nous nous mettrons sur la bonne voie pour perpétuer notre Suisse, pays où il fait bon vivre. Acquérir ces droits, et les transmettre aux générations futures, tel est notre devoir. Même si ce sera dur, même si nous semblons faibles et l'adversité semble forte. Les Waldstaetten n'ont-ils pas vaincu les Habsbourg?

Au nom des Jeunes UDC de la Riviera et du Pays d'Enhaut, je vous souhaite à tous une belle fête nationale. Vive la Suisse!

Yohan Ziehli

Président des JUDC Riviera Pays-d'Enhaut




dimanche 6 juin 2010

Tenue du stand de l'UDC


L'UDC de La Tour-de-Peilz va tenir un stand d'information devant la Coop ces prochaines semaines, comme elle l'a déjà fait à de nombreuses reprises. Les jeunes UDC Riviera - Pays d'Enhaut seront également de la partie. Nous allons aussi tenir deux stands a Vevey, devant le Theatre.

Les dates de la tenue du stand sont:

- samedi 3 juillet
- samedi 14 août Vevey !
- samedi 21 août Vevey !
- samedi 11 septembre
- samedi 18 septembre

A toutes ces dates, le stand sera tenu entre 8 h 30 et 12 h 00 environ.

Si vous vous posez des questions sur notre parti, c'est une occasion idéale pour trouver des réponses.

dimanche 18 avril 2010

Communiqué de presse

Fondation en grande pompe des JUDC Riviera‐Pays d'Enhaut

Après Lausanne et Lutry, ce fut au tour de la Riviera de lancer sa nouvelle section des JUDC mercredi soir 14 avril 2010 à La Tour‐de‐Peilz.

Devant un public passionné et en présence de deux pointures politiques, messieurs Oskar Freysinger, conseiller national UDC et Jean‐Dominique Cipolla, vice‐président de l'ASIN, la soirée fut couronnée de succès.

Selon la tradition, c'est à la présidente de la dernière section fondée, Jessica Stäheli de Lutry, que revint l'honneur de remettre la plume symbolique au nouveau président de la Riviera Yohan Ziehli.

Longue vie et bon vent à cette jeunesse très motivée à défendre les valeurs de notre merveilleux pays !

Avec nos meilleures salutations
La Tour‐de‐Peilz, le 16 avril 2010

vendredi 5 mars 2010

Fondation Jeunes UDC Riviera - Pays d'Enhaut, avec Oskar Freysinger et Jean-Dominique Cipolla










Nous avons le plaisir de vous inviter à la fondation de la section Jeunes UDC Riviera - Pays d'Enhaut.

Cela aura lieu le mercredi 14 avril 2010, à 19h00, au restaurant Veneto (Entre-deux-Villes 8, 1814 La Tour-de-Peilz), avec la participation exceptionnelle de Oskar Freysinger - conseiller national UDC - ainsi que Jean-Dominique Cipolla, notaire et vice-président de l'Action pour une Suisse indépendante et neutre (ASIN).

Ordre du jour :

  • 19h00: Accueil
  • 19h15: Allocution de M. Jean-Dominique Cipolla, notaire, vice-président ASIN
  • 19h30: Allocution de M. Oskar Freysinger, conseiller national UDC
  • 20h00: Allocution et fondation officielle de la section par M. Kevin Grangier, président JUDC Vaud
  • 20h30: Fin de la partie officielle et apéritif
Pour tout renseignement supplémentaire, vous pouvez envoyer un message à judc.riviera@gmail.com ou écrire directement au modérateur de ce blog.

Vous êtes prié de vous annoncer, afin que nous puissions organiser cette soirée au mieux. Cela dit, si vous n'en avez pas la possibilité (si vous décidez de venir au dernier moment, par exemple), vous pouvez venir sans prévenir. Il y a toujours de la place pour des intéressés!




dimanche 3 janvier 2010

Bilan de l'année 2009


L'année 2009 n'a pas été une grande réussite pour la Suisse, tant sur le plan économique que politique. Les attaques à répétition du secret bancaire, l'enlisement de l'affaire Libyenne ainsi que les réactions au vote sur les minarets n'ont fait que nous démontrer à quel point notre politique extérieure est faible. Les pressions exercées par les puissances étrangères nous rappellent que notre indépendance est limitée, comme le prouvent les derniers accords signés à gauche et à droite.

Malgré cette année de petite cuvée, l'UDC a été en mesure de tenir ses promesses électorales. Notre parti a démontré que ses élus ne se contentent pas de beaux discours, mais qu'au contraire, ils agissent coûte que coûte pour satisfaire la volonté du peuple.

L'UDC s'est battue rigoureusement pour une baisse des dépenses publiques et pour des finances saines. Elle a aussi été l'unique grande force politique à s'attaquer systématiquement à toute augmentation des impôts, taxes et redevances, tout en faisant des propositions concrètes pour les réduire.

Grâce à la majorité du peuple suisse et à l'UDC, la Suisse n'est pas membre de l'UE. Cela nous permet de conserver nos droits démocratiques et la TVA ne monte pas en flèche! (15 % ou plus dans les pays européens). Notre parti a également eu une grande importance pour garantir la neutralité de la Suisse, notamment en empêchant l'envoi de soldats helvétiques à l'étranger.

Le parti agrarien est le vecteur de la bataille contre les abus dans le droit d'asile et dans les assurances sociales. Il dénonce les erreurs en matière d'application des peines et de droit pénal. Nous exigeons que les personnes vivant dans ce pays se soumettent à nos loi et respectent nos traditions. L'UDC soutient l'intégration des étrangers, et cela passe par le refus catégorique de l'émergence de sociétés parallèles sur le territoire suisse.

Grâce à l'UDC, la population a pris conscience des risques que certaines forces politiques et puissances étrangères représentent pour la démocratie directe ainsi que pour les valeurs fondamentales de notre pays. Cela a largement été mis en évidence lors de la votation sur les minarets.

Bien que la pensée véhiculée par les médias prône le contraire, notre parti est en pleine expansion dans de nombreux cantons. En effet, l'UDC a gagné 12 sièges dans les différents parlements cantonaux cette année, pendant que le PDC, le PSS et le PRD en perdaient plus de 100!

Nous tenons à remercier la population de son soutien extrêmement précieux. Nous sommes fiers de la représenter en retour face aux élites distantes du peuple.

Meilleurs vœux pour 2010

Yohan Ziehli
Président des JUDC Riviera - Pays d'Enhaut
Secrétaire général des JUDC Vaud

dimanche 11 octobre 2009

Une Suisse indépendante et neutre ; baisse des impôts pour tout le monde ; renvois des criminels étrangers. Voici les trois piliers fondamentaux de l'UDC. L'UDC que certains médias, et par conséquent, beaucoup de personnes qualifient de parti raciste, unilatéral et sans liberté d'expression. C'est pour cela que je vais vous parler des 3 piliers de l'UDC.

Une Suisse indépendante et neutre est une Suisse qui n'appartient pas a l'UE ni a une organisation de défense (si on ose appeler cela comme ça) comme l'OTAN et qui ne prend pas des décisions sur n'importe quoi et n'importe qui à la va-vite (ce que Micheline Calmy-Rey a fait en essayant de donner des leçons à la Libye... regardons où cela nous a mené). Dans l'UE, un pays comme l'Autriche, la France ou l'Allemagne a perdu une grande partie de son pouvoir. Il faut entendre par là que 80% des décisions sont prises à Bruxcelles. Ce nombre est juste dément! En Suisse, voulons-nous perdre 80% de notre souveraineté, nous qui avons en moyenne 15 à 20 votations par année. La réponse, je n'ai même pas besoin de vous la donner. Raison pour laquelle il faut et jusqu’au bout résister a l'adhésion a l'Union Européenne qui nous mènera même peut-être à perdre notre franc suisse, un symbole de notre pays. L'Adhésion devient ainsi inimaginable.

Baisse des impôts pour tout le monde. Est-ce le parti socialiste qui pour sa prétendue aide aux familles a baissé les impôts? Non au contraire il les a fait exploser dans les communes où il est majoritairement représenté. Exemple à Lausanne (municipalité à majorité de gauche) une famille avec 2 enfants (4 personnes) paye en moyenne 20% de plus qu'une famille dans le gros de Vaud (majorité UDC). C'est vrai, il y a des gens qui ont besoin de nous car malgré tout leurs efforts ils ne s’en sortent pas. Eux, ils ont le droit à l'AI ou à une aide sociale. Mais pas les étrangers qui arrivent dans ce pays et qui gagnent 3, 4, ou 5 ans voire plus grâce à l'aide sociale, c'est à dire nos impôts. STOP aux abus. L'UDC donc veut une baisse des impôts car avec moins d'argent dans les caisses de l'Etat, il sera obligé de faire attention à ce qu'il dépense et dans ces temps là les familles auront, dieu merci, de l'argent pour vivre.

Renvois des criminels étrangers: Avec le laxisme des socialistes (jours-amendes introduits, prévention au lieu de répression pour des multi-récidivistes,...) nous assistons de plus en plus à des scènes atroces. Comme ces coups de couteau à Lausanne ou Vevey, qui ne sont pas des cas isolés. C'est vrai qu'il faut prévenir dès le plus jeune âge, mais quand ce sont des personnes qui sont rentrées là dedans, il faut faire preuve de fermeté! C'est pour cela que l'UDC propose que les criminels étrangers soient envoyés dans leur pays d'origine.

Fidel Petros

Caissier Jeunes UDC Riviera Pays d'Enhaut







mercredi 7 octobre 2009

Manipulations à la TSR

Par Oskar Freysinger, Conseiller National UDC/VS


Ah, elle est belle, la télévision d’Etat ! Lors d’une interview donnée le samedi 3 octobre après l’assemblée des délégués de l’UDC à Genève, j’ai répondu à diverses questions d’une journaliste de la TSR.

Dans une première question, elle me demande si je n’exagère pas la menace islamiste. Je réponds qu’en 1931-32, les gens sous-estimaient également Hitler et que lorsque la société a réagi, il était trop tard. Puis la journaliste, constatant que la plupart des musulmans en Suisse s’intègrent bien, me demande pourquoi je les considère comme un problème.

Je réponds à cette autre question que la plupart s’intègrent, mais qu’une minorité fondamentaliste refuse de reconnaître la suprématie de la loi civile sur le dogme religieux. Et je rajoute que tant que nous n’aurons pas la garantie de la reconnaissance intégrale de notre loi civile par l’Islam, il vaut mieux interdire les minarets.

Et qu’en a fait la TSR ?

Manipulant l’information, elle a coupé mes propos et joint deux réponses données à deux questions différentes pour faire accroire à un amalgame entre Nazisme et Islam (La coupure est d’ailleurs parfaitement visible pour un œil attentif).

Sortant la référence à 1931-32 de son contexte, elle fait suivre celle-ci par la phrase concernant l’exigence du respect de nos lois par l’Islam sur le territoire Suisse, permettant ainsi à certains journaux de m’accuser d’avoir comparé les musulmans aux nazis, ce qui n’a jamais été le cas.

Et Hafid Ouardiri (licencié par la mosquée de Genève pour avoir une lecture un peu trop critique du Coran) d’envisager une plainte pénale contre moi. Je lui souhaite bonne chance et appelle l’ouverture d’une procédure de mes souhaits, car elle permettra de rétablir la vérité et confondre la manipulation de la TSR.

Quoi qu’il en soit, je suis, de mon côté, en train d’étudier la possibilité d’attaquer la TSR par voie juridique pour cette manipulation honteuse.

Pour ce qui est du respect de la loi civile par l’Imam de Genève, Joussouf Ibram, je cite Hafid Ouardiri lui-même. Confronté à la plainte de Ouardiri pour licenciement abusif, l’Imam lui aurait dit: « Que peut-on faire, il préfère s’en remettre au droit des infidèles plutôt qu’au droit divin ! »

Et après ça, on viendra encore affirmer qu’en Suisse, les Imams reconnaissent la suprématie de la loi civile sur le droit islamique !

Oskar Freysinger
Président de l’UDCVS

Article lu sur: http://www.udc-valais.ch/?p=1253#more-1253

Boycott politique: Lausanne et Yverdon suivent Bâle

Après que le demi canton de Bâle-Ville a interdit la pose des affiches demandant l'interdiction des minarets, Lausanne et Yverdon ont pris la même décision.

La municipalité de Lausanne a déclaré que l'affiche véhiculait des images "racistes, irrespectueuses et dangereuses". Pour des raisons similaires, le maire de Genève, Rémi Pagani, espérait que sa ville opte pour l'interdiction de l'affiche. Le Conseil Administratif en a décidé autrement.

D'autres villes partout en Suisse attendent l'avis de la Commission Fédérale contre le racisme avant de prendre une décision. Ce fait inédit est pour le moins surprenant.
Est-ce que nos municipaux pensent que les citoyens n'ont pas la capacité de discerner ce qu'il faut accepter ou non eux-mêmes?

Que l'administration lausannoise ne soutienne pas l'initiative "contre la construction de minarets" est un chose. Qu'elle endigue la campagne de l'UDC en est une autre. Au même titre que la liberté de religion et de conscience est assurée dans notre pays, la liberté d'expression est acquise de longue date. Il ne reste plus qu'à l'appliquer...

Président JUDC Riviera-Pays d'Enhaut

mardi 6 octobre 2009

Bâle-Ville: la liberté d'expression bafouée!

Une affiche prônant le OUI pour la votation sur l'interdiction des minarets, le 29 novembre 2009, a été interdite dans le canton de Bâle-Ville. L'image, représentant une femme voilée devant des minarets sur un drapeau Suisse, a été jugée "raciste" par les autorités du canton.

Les autorités se sont basées sur une disposition légale qui interdit des affiches qui propagent une idéologie raciste et qui hiérarchisent les groupes de population en fonction de caractéristiques ethniques, religieuses, culturelles ou physiques.

Selon Walter Wobmann (UDC/SO, président du comité d'initiative), c'est une décision purement arbitraire venant de la gauche et une atteinte à la liberté d'expression.

Dans le même temps le groupe de presse Ringier a déclaré qu'il ne publiera pas les annonces en faveur du OUI. Le porte parole du groupe, Stafan Hackh, à déclaré que l'image qui accompagne l'annonce fait l'amalgame entre l'Islam, les minarets et la violence.

Autant dire qu'il s'agit là plus de choix politiques qu'autre chose. Monsieur Hackh parle d'amalgame entre l'Isalm, les minarets et la violence. Pourtant, nulle trace de violence. Et pour ce qui est des minarets, il est difficile de les associer à autre chose qu'à l'Islam.

La liberté d'expression est-elle discriminatoire et sélective? Espérons en tous cas que les citoyens seront assez habiles pour surmonter ces entraves à la démocratie le 29 novembre.

Président JUDC Riviera-Pays d'Enhaut